Be Goud to feel good ! est devenu le leitmotiv de Goud qui veut du bien au dirigeant. Après des mois de mûrissement, Vincent Roux, serial entrepreneur, donne vie à une idée qui lui tient à cœur : prendre soin de la santé physique et mental des dirigeants et dirigeantes. Ce sujet encore peu exploré a été un fabuleux terrain de jeu. Ma mission : créer la plateforme de marque de Goud.
S’il y a bien une chose que l’on peut affirmer, c’est qu’un dirigeant doit toujours être au meilleur de sa forme, à l’image d’un athlète. Car, une entreprise est une suite de défis quotidiens à relever. C’est un marathon. Elle exige l’excellence, de l’endurance. Mais ce que Vincent Roux souhaitait également exprimer et révéler au grand jour est l’aspect solitaire du dirigeant : “Un dirigeant ne peut compter que sur lui-même. Souvent esseulé, son image, en France, est détestable : c’est un pestiféré qui profite de la société. Sa réussite est sale, son échec contagieux.” Avec Goud Vincent Roux souhaite (tout simplement) changer le regard que nous portons sur le dirigeant. Sa conviction : le dirigeant est l’éclaireur d’un pays. Il n’attend rien ni personne pour se lancer. Il ose, il se sacrifie au nom d’une ambition, d’un rêve, d’une revanche. Il cultive l’optimisme. Parfois, il s’effondre puis repart. Dans la résilience et la ténacité, il s’oublie, se perd. Sans un bruit.
Prendre soin des dirigeants
L’idée est claire, elle est là : Goud veut prendre soin des dirigeants. Et pour lancer cette entreprise sur de bonnes bases, rien de mieux qu’une plateforme de marque solide. Ce qui fut ma mission, acceptée avec grand plaisir !
J’ai commencé par me documenter à la fois sur les sujets de la santé et de la posture de dirigeant et de la dirigeante. D’ailleurs, à ce sujet, au-delà des considérations féminines et masculines du mot employé, le terme “dirigeant” méritait qu’on l’éclaire. Pour Goud, le dirigeant est celui qui a créé son entreprise ou l’a repris, c’est cet entrepreneur de PME qui a donc plus l’esprit entrepreneurial que managérial. Exit, les dirigeants de grandes entreprises et de ces multinationales dont le pouvoir des entreprises revient davantage à des organisations qu’à des individus. La cible de Goud c’est bien ce dirigeant dit “dirigeant-propriétaire” qui possède et anime activement son entreprise. C’est pourquoi mes recherches se sont plutôt focalisées sur les PME françaises.
3 millions de travailleurs non salariés sont à l’origine de la création d’emplois et de richesse en France. Comment va leur santé ?
Il y a des sujets chauds qui nous animent : le développement personnel, les thérapies alternatives, la santé holistique, la prévention, la Qualité de Vie au Travail (QVT). Les applications qui nous accompagnent pour une meilleure santé mentale ne cessent de fleurir. Mais force est de constater que la santé des dirigeants ne passionnent pas les foules. J’ai tout de même trouvé mon bonheur sur un portail réunissant 4 associations : Le Portail du Rebond des Entrepreneurs avec les associations 60 000 rebonds, Re-Créer, Second Souffle et l’Observatoire Amarok. Via ce portail j’ai pu creuser davantage du côté de cet observatoire Amarok fondé par Oliviert Torrès. Normalien et agrégé d’économie, il est professeur de management à l’Université de Montpellier 1 et à Montpellier Business School, titulaire de la chaire santé des entrepreneurs.
Les risques psychosociaux du chef d’entreprise de PME
Je me suis alors plongée dans la lecture d’une étude publiée par Olivier Torrès et son collègue Thomas Lechat. « La santé de l’entrepreneur est probablement une ressource sous-estimée pour le comportement entrepreneurial et le développement de l’organisation ». Voilà, c’est tout ce qu’il me fallait pour avancer !
Dans le cadre de cette étude, une enquête menée sur 357 dirigeants-propriétaires de PME a permis aux deux chercheurs de mettre en évidence 30 facteurs stresseurs qui impactent la santé du dirigeant. Le schéma que j’ai trouvé était de piètre qualité. J’ai pris un malin plaisir à le reproduire pour le livrer à la team Goud.
Care, vulnérabilité, performance
L’environnement du dirigeant, check ! À présent, il me fallait chercher ailleurs pour agrémenter mon analyse et nourrir la future plateforme de marque. Je suis alors tombée sur les théories du “care” qui trouvent leur origine dans une étude publiée par Carol Gilligan en 1982 aux États-Unis. Le care englobe la capacité à prendre soin d’autrui. #sollicitude
Goud participe à la prise de conscience du (potentiel) mal-être des dirigeants. Les regards doivent changer. Le dirigeant, lui-même, doit prendre conscience de son besoin : qu’on le considère. Faire société, sortir de l’individualisme, voilà ce qu’encourage Goud.
Et puis quand on parle de care, vient naturellement le sujet de la vulnérabilité. Ce que nous vivons nous abîme. La fragilité est constitutive de nos existences. Goud œuvre pour cette émancipation du dirigeant, cette reconnaissance de sa vulnérabilité en misant sur une offre « de soins » collective.
Et la performance que la société nous impose, on en parle ?
On l’a oublié, mais à l’origine, la performance est aussi l’acte, la manière de faire, plus que le résultat, lui-même. Telle qu’on la connaît, la performance encourage la comparaison aux autres. Et, à force de chiffres, on passe de performer à comptable de nos vies. « Cette » performance nous aliène dans un fantasme dans lequel la quantité prime la qualité. Tous les moyens sont bons pour parvenir à ce que l’on souhaite, et cela pose un problème éthique. Goud redonne à la performance ses lettres de noblesse en prônant le lien humain comme source de réussites.
La quête de Goud ? L’atteinte du Flow
Est-ce qu’on va vraiment bien quand on répond « Ça va ». D’après une étude IFOP, commandée par Aesio en 2021, 28% des Français déclarent que leur santé mentale s’est dégradée. L’équilibre mental n’est pas un sujet médiatique, c’est une réalité. Toujours vouloir être top, ne pas savoir à quel moment on peut réellement être heureux donne lieu à un acharnement physique et mental délétère. Dans certains cas, c’est le contraire, on préfère abandonner, l’inaction s’impose et on cultive le sentiment d’être démuni face à la vie.
Goud vise l’équilibre par la détection des leviers stresseurs et des leviers d’apaisement à la fois objectifs et relatifs à chacun. Goud vise le flow !
Mais c’est quoi le flow ? Le flow désigne un état psychologique optimal. Le flow oriente l’attention vers ce qu’il y a de positif dans chaque situation. Il favorise le développement de ces éléments positifs, leur maîtrise et leur utilisation à des moments clés de la vie. Cette focalisation positive permet la réalisation de performances.
La culture du feel good
Goud fait du bien. C’est cette notion qui a guidé la conception de sa plateforme de marque. Goud recherche et revendique l’alignement, la congruence, le moyen ultime pour atteindre ses objectifs, réussir, et vivre libre et heureux. Fédérateur, déterminé, audacieux, fiable, généreux et épanouissant, Goud revendique des valeurs qui sont également les qualités d’un (bon) dirigeant. La mission de Goud : cultiver la santé des dirigeants !
Et si entreprendre était enfin considéré comme un acte vertueux ? Ça irait bien mieux.
Voilà la vision de Goud ! Évolution, innovation, transition. Nos sociétés bougent parce que des entrepreneurs osent, chaque jour. Audace et sacrifice, voilà qui les caractérisent. Dans le monde meilleur de Goud, on considère le dirigeant à sa juste valeur, on combat les préjugés et on reconnaît qu’entreprendre c’est dur et qu’il faut se donner les moyens d’assurer. Un dirigeant épanoui, c’est une entreprise motivée, voire un pays tout entier qui sourit. C’est la vision de Goud, pour un monde qui irait bien mieux. Quand on dit « ça va » chez Goud, ça va vraiment.
Pour découvrir les détails plus techniques de ma mission pour Goud et les différents talents qui ont contribué à la construction de son image de marque, rendez-vous par ici : La fiche référence de Goud !
Continuez votre balade sur mon site. Osez vous perdre,
je vous éclaire. Bonne visite !
Gina Di Orio 💙